L'éQUIPE SCIENTIFIQUE
modifié le: 2013-02-21
 

L'équipe scientifique

 

1. Coordinateurs scientifiques

2. Laboratoires régionaux

2.1. Ceraps (Lille 2 -IEP de Lille)

2.2. Clersé (Lille 1 - IEP de Lille)

2.3. LSMRC (Lille 2)

3. Autres partenaires scientifiques

3.1. Cetcopra (Paris 1)

3.2. Réseau DDTF

3.3. MESHS

3.4. L'Université Libre de Bruxelles (ULB)

3.5. CMRP (Bordeaux 4)

3.6. Divers

 

 

1. Coordinateurs scientifiques


Bruno VILLALBA, Maître de conférences à l’Institut d’Études Politiques de Lille, est le porteur du projet et la personne référente pour le CERAPS. Il est impliqué dans les réseaux scientifiques régionaux en tant que politiste et sociologue de l’environnement (MESHS, Réseau Développement durable et territoires fragiles, direction du Master « Politiques territoriales du développement durable » à l’IEP de Lille, etc.). Ces derniers travaux au sein du CERAPS portent notamment sur les réponses sociales à l’urgence écologique (école thématique du CNRS « évaluation de la durabilité », octobre 2008.) Il a aussi étudié les relations entre action environnementale et inégalités sociales, notamment sur le territoire de la région Nord-Pas-de-Calais. La problématique de la construction de scénarios de sobriété collective s’inscrit donc comme une suite logique à ses recherches précédentes, dans la mesure où la perception sociale de l’urgence joue toujours un rôle déterminant dans l’émergence et la construction de logiques micro-sociales de sobriété énergétique collective (1).

Contact : 84, rue de Trévise, 59000 LILLE- France. Téléphone : 03 20 90 42 79

Adresse électronique : bruno.villalba@univ-lille2.fr

Site internet : http://droit.univ-lille2.fr/enseignants/villalba/

 


Luc SEMAL, docteur en science politique, est ingénieur de recherches au Clersé pour le programme Sobriétés. Il a soutenu en 2012 une thèse intitulée Militer à l'ombre des catastrophes: contribution à une théorie politique environnementale au prisme des mobilisations de la décroissance et de la transition. Dans ce cadre, il a été amené à étudier plusieurs expériences-pilotes de sobriété énergétique à travers l’Europe, notamment dans le cadre d'enquêtes de terrain auprès du mouvement des Transition Towns et du réseau des Cittaslow (2).

Contact : luc.semal[at]sciences-po.org

Page internet : http://ceraps.univ-lille2.fr/fr/chercheurs/luc-semal.html

 

 

2. Laboratoires régionaux

2.1. Ceraps (Lille 2 - IEP de Lille)

Centre d’études et de recherches administratives, politiques et sociales


Cinq chercheurs directement impliqués dans le projet en sont issus. Étant porteur du projet, c’est ce laboratoire qui sera le plus investi dans la recherche. Ils seront notamment les premiers concernés par l’organisation des cinq journées thématiques à l’Université de Lille 2, mais aussi par le suivi du Plan Climat Nord-Pas-de-Calais et par l’organisation des séminaires extériorisés. La répartition des tâches et des compétences entre les membres du CERAPS est détaillée ci-dessous. Le CERAPS dispose d’un pôle de recherche très actif sur les problématiques du développement durable, particulièrement visible et impliqué dans les réseaux scientifiques régionaux (Développement durable et territoires fragiles), nationaux et internationaux. Cela permettra de mobiliser une importante capacité d’expertise dans le cadre de ce programme, et ensuite de fournir les moyens nécessaires à une bonne diffusion des données produites auprès des réseaux scientifiques, associatifs et institutionnels, tant au plan régional qu’au plan national.

 

Caroline LEJEUNE, diplômée de l’Institut d’Études Politiques de Lille et titulaire d’un Master de Philosophie spécialité « Éthiques, Politique et Société », est actuellement doctorante rattachée au CERAPS. Sa thèse, qui bénéficie d’un contrat CIFRE, s’intitule : « L’interaction du social et de l’écologique dans les politiques publiques de la région Nord-Pas-de-Calais : introduction d’une approche transversale et inter-disciplinaire dans la décision politique ». Très impliquée dans les groupes de réflexion institutionnels, elle a été conseillère en éco-citoyenneté à la Région Nord-Pas-de-Calais, et participe à l’élaboration du Schéma Régional d’Éco-citoyenneté Tout au Long de la Vie. Elle y a introduit l’interaction entre le social et l’environnement et continue ce travail comme membre actif du groupe sur l’éco-citoyenneté au Conseil régional et consultante universitaire.
Contact : Caroline Lejeune lejeune.ca@gmail.com

Pierre MATHIOT, Professeur des universités en Sciences politiques rattaché au CERAPS, est directeur de l’Institut Études Politiques de Lille. Il est spécialiste des questions de sociologie de l’action publique et de sociologie des élites administratives : son expertise sera donc très utile dans notre l’analyse des processus d’institutionnalisation de la sobriété énergétique que l’on peut observer dans le cas de certaines expériences-pilotes locales en la matière. Il dispose également d’importants réseaux internationaux qui pourront être exploités dans le cadre de notre projet de recherche, et notamment lors des animations scientifiques. Il participera au travail d’évaluation scientifique et à l’encadrement des animations scientifiques (3).

Grégory DERVILLE, Maître de conférences à l’Institut d’Études Politiques de Lille, est chercheur CNRS rattaché au CERAPS. Il travaille notamment sur les politiques sociales et leur mise en place au niveau territorial. Il propose d’effectuer en outre des enquêtes de terrain auprès d’acteurs régionaux de la sobriété dans le Nord-Pas-de-Calais, et de permettre la confrontation de ces acteurs à d’autres démarches de sobriété qu’il a pu observer au cours de l’année 2009 (Ateliers de la Bergerette basés à Beauvais, Écocentre basé à Beauvais, et projet E’Caux centre basé à Yvetot) (4).

 

2.2. Clersé (Lille 1 - IEP de Lille)

Centre lillois d'études et de recherches sociologiques et économiques


Son expertise en matière d’évaluation économique de pratiques du développement durable et d’économie sociale et solidaire nous ont paru incontournables pour compléter notre approche. De plus, leur implications dans le programme de recherche nous permet d’accéder à d’importants réseaux en matière de développement durable, tant au niveau régional qu’au niveau national. Deux chercheurs seront impliqués dans ce projet, auxquels pourront ponctuellement s’ajouter certains doctorants.

Hélène MELIN, Maître de conférences en sociologie et anthropologie à l’USTL et mène ses recherches au sein du laboratoire CLERSE (helene.melin@univ-lille1.fr). Elle est co-responsable de l’animation de l’axe de recherche CPM – Culture, Patrimoine, Média, au sein du Clersé ; Responsable scientifique de l’équipe 2 du programme de recherche "Les enfants du fleuve : paysages vécus et paysages perçus en Seine aval" - GIPSA.  Membre du programme de recherche Concertation Décision Environnement (CDE) – MEEDDAT "Un parc national pour les Calanques ? Construction territoriale, formes de concertation et principes de légitimité". Elle a notamment publié H. Melin, 2006, "Le patrimoine minier du bassin Nord - Pas de Calais : un outil de dynamisation territoriale", dans J-C. Daumas (sous la dir.), La mémoire de l’industrie. De l’usine au patrimoine, 2006, Besançon, PU de Franche Comté, coll. "Les cahiers de la MSH Ledoux, n°4", pp.237-254CLERSÉ (Centre lillois d’études et de recherches sociologiques et économiques, Université de Lille 1) Site internet : http://clerse.univ-lille1.fr/spip.php?article175

Bertrand ZUINDEAU, Maître de conférences HDR en économie à l’Université de Lille 1, est co-responsable de l’axe « Territoires, environnement, développement durable » au CLERSÉ et dirige la revue électronique Développement durable et territoires. Cette fonction fait de lui l’une des personnes centrales des réseaux universitaires régionaux sur les questions de développement durable. Il anime également le SIDD (Séminaire interdisciplinaire sur le développement durable) qui organise régulièrement des journées d’études dans les universités lilloises. Ses thèmes de recherche centraux sont l’économie de l’environnement et l’économie du développement durable, avec une attention particulière portée aux enjeux territoriaux du développement durable, et notamment à la question des inégalités des territoires face aux risques climatiques et énergétiques (8).

 

2.3. LSMRC (Lille 2)


Le LSMRC (ex-GERME) est la Lille School of Management Research Center, laboratoire de gestion de l’Université de Lille 2. Trois chercheurs directement impliqués dans le projet en sont issus. Le LSMRC étant le principal partenaire du CERAPS dans ce projet, son implication sera constante tout au long des trois années que durera le programme de recherche. Le LSMRC fournira à l’équipe de recherche des réseaux scientifiques très complémentaires de ceux du CERAPS (plutôt tournés vers les démarches institutionnelles), à savoir des réseaux davantage tournés vers la problématique des évolutions des modes de consommation par l’intégration de critères sociaux et/ou environnementaux. Dans ce domaine, la capacité d’expertise fournie par Nil Ozcaglar-Toulouse et son équipe garantiront une évaluation exigeante des trajectoires de consommation envisageables en région Nord-Pas-de-Calais pour y intégrer davantage de pratiques de sobriété. Des doctorants pourront être associés au projet pour accomplir certaines phases de la recherche.

Nil OZCAGLAR-TOULOUSE, Maître de conférences à l’Université de Lille 2, est Docteur en Sciences de gestion. Elle est la présidente de FairNESS, association scientifique dont l’objectif est de fédérer les travaux sur les échanges économiques alternatifs et le commerce équitable. Ses recherches se concentrent sur l’intégration aux modes de consommation de critères sociaux et environnementaux (5). Cette approche des pratiques de sobriété par le marketing et les Sciences de gestion apportera à la recherche un apport substantiel, en insistant notamment sur la notion de besoin (En quoi les consommateurs-citoyens, peuvent-ils être incités à questionner leur conception de leur besoin ?). L’invention de nouvelles formes de consommations, plus durables (allant de l’économie de la fonctionnalité à la mutualisation de la consommation) sera également étudiée. Cette perspective s’intéressera particulièrement au développement des compétences consommatoires, plus sobres, prenant en compte de nouvelles variables dans les achats. La compréhension par les consommateurs des allégations et des étiquettes Carbone, impulsées sous le Grenelle de l’Environnement y sera étudiée. Les rapports de production et de consommation en région Nord-Pas-de-Calais pourront ainsi être évalués au regard de la problématique de la sobriété énergétique.LSMRC (Lille School of Management Research Center, Lille 2).

Contact : Nil Ozcaglar-Toulouse nil.toulouse@univ-lille2.fr

Site internet : http://ffbc.univ-lille2.fr/fr/notre-faculte/nos-enseignants/ozcaglar-toulouse-nil.html

 

Maud HERBERT est enseignant-chercheur et docteur en sciences de gestion. Elle travaille plus précisément sur les aspects méthodologiques tels que les biais de désirabilité sociale dans les enquêtes et conceptuels comme la construction sociale de la consommation, et complètera par cette approche les contributions de Nil Ozcaglar-Toulouse dans le domaine du Marketing et de la Gestion (6).

Contact : maud.herbert@univ-lille2.fr

 

Isabelle ROBERT est enseignant-chercheur et docteur en économie au LSMRC. Elle est spécialiste de la consommation responsable et de l’opérationnalisation du développement durable dans le monde économique et en particulier dans l’entreprenariat (7).

Contact : isabelle.robert@reims-ms.fr

 

 

3. Autres partenaires scientifiques

3.1. Cetcopra (Paris 1)

Centre d'étude des techniques, des connaissances et des pratiques

Le Cetcopra est le Centre d’étude des techniques, des connaissances et des pratiques, basé à l’Université Paris 1-Panthéon-Sorbonne. Il n’est pas un partenaire directement impliqué dans ce projet qui est maintenant centré sur l’étude d’acteurs régionaux de sobriété. Cependant, il constitue l’un de nos partenaires principaux au niveau national et certains de ses chercheurs seront donc conviés à nos journées thématiques pour apporter une contribution substantielle à notre démarche scientifique en matière de Sociologie des techniques.

Mathilde SZUBA, diplômée de l’Institut d’Études Politiques de Lille, est actuellement doctorante au CETCOPRA avec un financement ADEME. Sa thèse en cours porte sur la « carte carbone » et s’intitule « Crise écologique et démocratie : les politiques environnementales et leur impact sur les libertés individuelles. Dans quelle mesure les États doivent-ils avoir recours à la contrainte ? ». Elle est donc spécialiste des différentes logiques d’institutionnalisation de la sobriété énergétique et de leur articulation avec les spécificités territoriales (9).
Contact : mathildesz@yahoo.co.uk

Alain GRAS, Professeur à l’Université Paris 1-Panthéon-Sorbonne et directeur du CETCOPRA, sera ponctuellement invité pour certaines journées d’étude thématiques. Socio-anthropologue des techniques, responsable d’un Master de socio-anthropologie des techniques contemporaines à l’Université Paris 1, ces recherches se sont concentrées depuis une décennie sur l’évolution des techniques et de leur rôle social au regard de la crise écologique globale. Il a notamment publié deux essais consacrés à ce sujet (Fragilité de la puissance, Fayard, 2003 ; Le Choix du feu, Fayard, 2007).

 

3.2. Le réseau DDTF (Développement durable et territoires fragiles)

Le réseau DDTF organise régulièrement des Séminaires interdisciplinaires sur le développement durable (SIDD) au cours desquels les premiers résultats du programme de recherche pourront être discutés et enrichis (par exemple le 6 mai 2010). Plusieurs membres de l'équipe scientifique participent par ailleurs au comité de rédaction de la revue en ligne Développement durable et territoires.

 

3.3. La MESHS (Maison européenne des sciences humaines et sociales)

La MESHS héberge le site internet du programme Sobriétés. Ces locaux pourront accueillir certaines des journées d'étude organisées d'ici 2013.

 

3.4. L'Université libre de Bruxelles (ULB)

L’Université Libre de Bruxelles (ULB) sera ponctuellement associée à notre équipe de recherche pour l’organisation de certaines des journées thématiques. En effet, Edwin Zaccaï et Grégoire Wallenborn, deux chercheurs qui y sont rattachés, ont déjà collaboré avec nous à plusieurs reprises et ont toujours produit une réflexion de qualité, notamment sur les interactions entre enjeux sociaux et environnementaux ou sur les implications politiques des situations d’urgence environnementale. Ils seront donc des partenaires très bénéfiques pour l’organisation des journées thématiques intitulées « Sobriété énergétique et inégalités sociales » (JT4).

 

3.5. CMRP (Bordeaux 4)

Centre Montesquieu de Recherche politique

Le CMRP sera ponctuellement associé, notamment en la personne de Yann Raison du Cleuziou, Maître de conférences en Science politique, qui travaille notamment sur l’appropriation du développement durable par des publics généralement peu sensibles aux discours environnementalistes traditionnels (notamment les chasseurs). Son approche s’avèrera complémentaire à la notre dans l’analyse des critères d’évaluation sociale des démarches de sobriété, notamment en termes de transferts des bonnes pratiques vers des publics encore peu sensibilisés.

 

3.6. Autres

Les autres partenariats scientifiques désignent les partenaires scientifiques basés à l’étranger (et notamment sur d’autres continents) avec lesquels nos laboratoires ont l’habitude de travailler de manière dématérialisée grâce à l’internet et aux nouvelles technologies de l’information. Ces partenaires ne seront pas présents lors de nos collaborations, mais les échanges de textes et les relectures mutuelles faisant partie de nos habitudes de travail, il nous sera possible de solliciter leur expertise internationale à différents moments-clés de notre programme de recherche. Certaines de leurs contributions pourront être mises à disposition de l’ensemble de nos partenaires via notre plate-forme numérique et notre base de données commune. Nos principaux partenaires scientifiques virtuels seront l’Université de Valence (contact : Ernest Garcia, Professeur), l’Université de Rennes 1 (contact : Philippe Robert-Desmontrond, Professeur agrégé des Universités), l’University of Wyoming -EU (contact : Eric Arnould, Professeur), l’American University in Dubai (contact : Helen Cherrier, Professeur), l’University Southern of Danemark (contact : Soren Askegaard), etc.

 


notes


(1) Villalba B. (dir.), 2009, Appropriations du développement durable, Lille, Presses universitaire du Septentrion ; Muxart T., Vivien F.D., Villalba B., Burnouf J. (dir.), 2003, Des milieux et des hommes : fragments d’histoires croisées, Paris, Elsevier ; Villalba B., Zaccaï E. (dir.), 2007, « Inégalités écologiques, inégalités sociales : interfaces, interactions, discontinuités ? », in Développement durable et territoires, http://developpementdurable.revues.org/document3497.html), AERES C ; Villalba B., 2008, « The French Greens : Changes in Activist Culture and Practices in a Constraining Environment »; in Rihoux B., Lucardie P., Frankland E. Gene (eds), Green Parties in Transition: the End of Grass-Roots Democracy?, London, Asghate, p. 43-60. ; Villalba B. (avec Goxe A. et Zuindeau B.), 2008, « Séquelles environnementales et persistance du territoire », in Scarwell H., Laganier R., Kergomard Cl. (dir.), Environnement et gouvernance des territoires. Enjeux, expériences et perspectives en région Nord-Pas-de-Calais, Lille, Presses universitaire du Septentrion, p. 89-107 ; Villalba B., 2006, « Dire la crise ? L’injonction contradictoire de l’idée de crise écologique dans le champ politique », in Beck C., Lughinbül Y., Muxart T. (dir.), Temps et espaces des crises de l’environnement, Paris, édition Quae, collection Indisciplines, 383-392.

(2) L. Semal, « Logiques et limites des expérimentations de modes de vie post-carbone : analyse comparative des stratégies de deux mouvements, la décroissance et la transition », in Michelle Dobré et Salvador Juan (dir.), Consommer autrement. La réforme écologique des modes de vie, L’Harmattan, 2009 ; L. Semal et M. Szuba, « Le rationnement contre l’abondance dévastatrice : l’exemple des CRAGs », Sociologies pratiques n°20, Sommes-nous encore dans une société de consommation ?, AERES A, 2010 (à paraître) ; L. Semal et M. Szuba, « Les Transition Towns : résilience, relocalisation et catastrophisme éclairé », Entropia n°7, L’effondrement… et après ?, septembre 2009 ; L. Semal, « Choisir une transition énergétique : laquelle, jusqu’à quand et jusqu’à quoi ? Intérêts, ambiguïtés et limites d’un mythe pacificateur », Actes du séminaire Énergie et société, Gabriel Peri, 2010 (à paraître).

(3) P. Mathiot, « Les acteurs administratifs dans la production des politiques publiques sociales. ‘Pouvoir’ et marges de jeu d’une élite sectorielle », in Pour une science politique de l’administration, F. Dreyfus, J-M. Eymeri, dir., Economica, 2006; P. Mathiot, « Un exercice de gouvernance territoriale ? La préparation du Schéma Régional d’Aménagement Durable du Territoire (SRADT) Nord-Pas-de-Calais », in V. Simoulin, J. Weisbein dir., Gouvernance territoriale : pratique, discours et théories, LGDJ, 2006 ; P. Mathiot, « Socio-histoire et analyse des politiques publiques : le cas des politiques de l’emploi », avec G. Pollet, Séminaire de Socio-Histoire, CURAPP-Université d’Amiens, 2 avril 2004 ; P. Mathiot, « La production des politiques publiques régionales entre ‘techniciens’ et ‘politiques’ », Colloque du GRALE sur les nouvelles politiques locales, Institut d’Etudes Politiques de Bordeaux, 23-24 octobre 2003 ; P. Mathiot, « Qu’est-ce qu’une politique régionale aujourd’hui et demain ? La place de la Région dans la transformation de l’action publique entre le local, l’Etat et l’Europe », Séminaire de prospective du Conseil Régional Nord-Pas-de-Calais, Lille, 10 juin 2003.

(4) G. Derville et G. Rabin-Costy, Politiques et dispositifs de la protection de l'enfance en France, Dunod, 2009 ; G. Derville, Le pouvoir des médias. Mythes et réalités, Presses Universitaires de Grenoble, 2005 ; G. Derville, « La politique de communication du groupe d'intérêt départementaliste », in Questions de communication, vol. 7, 2005 ; G Derville et S. Pionchon, Les femmes et la politique en France, Presses Universitaires de Grenoble, 2004 ; G. Derville, « Le combat singulier Greenpeace - SIRPA. La compétition pour l'accès aux médias lors de la reprise des essais nucléaires français », in Revue française de science politique, vol. 47-5, 1997.

(5) Ozcaglar-Toulouse N., Apport du concept d’identité à la compréhension du comportement du consommateur responsable : une application à la consommation des produits issus du commerce équitable, Thèse soutenue en 2005 à l’Université de Lille 2 ; Ozcaglar-Toulouse N., « Quel sens les consommateurs responsables donnent-ils à leur consommation ? Une approche par les récits de vie », Recherche et applications marketing, AERES A, 2009 ; Ozcaglar-Toulouse N., Beji-Becheur A. et Diaz-Pedregal V., « Fair-trade : just how fair are the exchanges ? », Journal of Macromarketing, AERES B, 2008.

(6) Herbert, M., 2004, « Réunion de consommateurs : comprendre les motivations de la participation », Décisions Marketing, n°36, p. 27-38 ; Delbende, V., Herbert, M., 2008, « Mesure des préoccupations éthiques dans le contexte de la consommation : un état de l’art. », Colloque International : Services, Innovation et Développement Durable, Poitiers, 27-28-29 mars ; Herbert M. (2005), Le comportement de réponse de l’individu en situation de questionnement : le biais du répondant en comportement du consommateur, Thèse de doctorat en sciences de gestion, Université Paris IX Dauphine, Paris.

(7) Robert I et Binninger AS, L’intégration du label commerce équitable dans les référentiels d’achat des consommateurs de la grande distribution, Economie et solidarités, vol 37 (2), 74-89 septembre 2008 ; Robert I et Binninger AS, Consommateurs et développement durable : vers une segmentation des sensibilités et des comportements, Revue des Sciences de gestion, direction et gestion, N° 229, 51-59, janvier-février 2008 ; Robert I, Eduquer le citoyen au Développement Durable : un « devoir d’urgence », Le cahier de PRELUDES, N°12-2008.

(8) Zuindeau B., 2009, « Analyse régulationniste de l’environnement : éléments théoriques et pistes de recherche », Économie appliquée, tome LXI, n° 3, p. 159-188 ; Zuindeau B., 2009, « Responding to environmental risks : what can Albert Hirschman contribute ? », Ecological Economics, 69 (1), p. 155-165 ; Torre A., Zuindeau B., 2009, « Proximity economics and environment : assessment and prospects », Journal of Environmental Planning and Management, 52 (1), p. 1-24 ; Torre A, Zuindeau B., 2008, « Économie de la proximité et environnement : état des lieux et perspectives », Canadian Journal of Regional Science / Revue canadienne des sciences régionales, 31 (1), p. 133-160 ; Letombe G., Zuindeau B., « Hazardous waste sites and property values : a French case study in the light of US analyses », International Journal of Environment and Pollution, 32 (3), p. 387-409, 2008 ; Zuindeau B., « Territorial equity and sustainable development », Environmental Values, n° 16 (2), p. 253-268, 2007 ; Zuindeau B., « Régulation School and environment : Theoretical proposals and avenues of research », Ecological Economics, n° 62 (2), p. 281-290, 2007 ; Boidin B., Zuindeau B., « Socio-économie de l’environnement et du développement durable : état des lieux et perspectives », Mondes en développement, n° 135 (3), p. 7-37, 2006 ; Zuindeau B., « Spatial Approach to Sustainable Development : Challenges of Equity and Efficacy », Regional Studies, n° 40 (5), p. 459-470, 2006.

(9) M. Szuba, « Le Rationnement pour changer les modes de vie ? Le cas du projet de Carte Carbone en Grande-Bretagne », in Michelle Dobré et Salvador Juan (dir.), Consommer autrement. La réforme écologique des modes de vie, L’Harmattan, 2009 ; M. Szuba et L. Semal, « Les CRAGs : le rationnement contre "l’abondance dévastatrice" », Sociologies Pratiques, 2010 (à paraître) ; M. Szuba et L. Semal, « Villes vers la sobriété. Les transition towns, cousins britanniques des objecteurs de croissance », dossier pour la revue Silence n°365, 2009 ; M. Szuba, Le Changement climatique, nouveau moteur du contrôle social ? Le cas de la Carbon Card, projet britannique de limitation des émissions de GES à travers un rationnement individuel et informatisé du carbone, Mémoire de Master 2 sous la direction d’Alain Gras, 2007.